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ACCUEIL |
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LES ARMES |
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INDEX GENERAL |
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LEXIQUE |
Longueur de l'arme: |
300 mm |
Longueur du canon: |
200 mm |
Longueur de la
ligne de mire: |
/ (pas d'organes de visée) |
Hauteur: |
150 mm |
Poids à
vide: |
1,120 kg |
Poids chargé: |
/ |
Contenance du
magasin: |
/ (mono coup chargement par le canon) |
Calibre: |
17,1 mm |
Munition: |
balle ronde en plomb de 15,98 mm (poids: 24,50 g),
poudre encartouchée (charge: 7,50 g dont 1 g pour l'amorcage) |
Rayures: |
sans |
Vitesse initiale
(Vo): |
/ |
Energie initiale
(Eo): |
/ |
Vitesse pratique
de tir: |
2 à 3 coups/min |
Portée
pratique: |
5 à 10 m environ |
Portée
maxi: |
/ |
Pénétration: |
/ |
Perforation: |
/ |
Classification: |
arme de poing |
Subdivision: |
pistolet |
Utilisation: |
combat rapproché |
Canon: |
lisse, chargement par la bouche |
Système
moteur: |
/ |
Système
de fermeture: |
culasse vissée à demeure sur
le canon |
Alimentation: |
manuelle, charge de poudre encartouchée
et balle en plomb |
Système
de détente: |
simple par détente et gâchette |
Système
de percussion: |
percussion circulaire, platine extérieure |
Extraction: |
/ |
Ejection: |
/ |
Sécurités: |
par cran de demi-armé |
Sûretés: |
par cran de demi-armé |
Appareils de
pointage: |
sans |
Accessoires à
la puissance de feu: |
/ |
Marquages: |
sur la platine (fabricant) |
Finition: |
polie blanc sauf canon bronzé et garnitures en laiton |
Fabricants: |
Manufacture Royale de Maubeuge (934 paires de
1816 à 1819 |
Manufacture Royale
de Versailles (446 paires à partir de 1816) |
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Exemplaires fabriqués: |
1380
paires |
Période
d'utilisation: |
de
1816 à 1830 |
Versions et dérivés: |
/ |
Classification: |
8°
catégorie |
Dérivé
du pistolet de garde du corps du Roi modèle 1814, le pistolet
modèle 1816 en est une version simplifié, en particulier aux
niveau du décor des garnitures. Le pistolet de garde du corps du Roi
modèle 1816 était fabriqué par paire et livré
ainsi aux garde du corps du Roi, tous cavaliers, de façon à
garnir les deux fontes de leurs selles. Arme de combat avant tout il ne
s'embarrasse pas de fioritures excessives contrairement aux sabres ou épées
de cours, néanmoins c'est une très belle arme, simple et de
bon goût qui équipera la garde rapproché du
Roi jusqu'à la dissolution des Gardes du corps en 1830. Dernière
arme de poing de la royauté il fut bien plus le témoin
des grands défilés et des bals à la cour que des champs
de bataille. |
Comme la plupart
des armes de poing de l'époque il comprend quatre parties:
l'ensemble canon-culasse, la platine, le bois, les garnitures.
La platine se fixe dans le bois au moyen de deux vis traversant le dit-bois et venant de la contre-platine.
Les garnitures sont constituées de l'embouchoir, du pontet et de la calotte de crosse:
La queue de culasse ne comporte pas le marquage du modèle contrairement aux autres armes réglementaires: Le côté extérieur de la
platine comporte le marquage du fabricant:
Le côté latéral
gauche du canon comporte le marquage de l'année de fabrication.
Figurent également sur l'arme différents poinçons
de réception:
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Démontage
pour nettoyage sommaire: Le soldat ne disposant pas d'outils adéquats n'était pas autorisé, à priori, à démonter son arme même sommairement. L'entretien courant consistait donc à nettoyer le canon avec la baguette de nettoyage et à nettoyer la tête du chien et le bassinet des résidus de poudre. L'orifice de la lumière devait être également surveillé car sujet à encrassement. Le démontage complet devait être assuré par l'armurier de la compagnie ou du régiment car lui seul possédait l'outillage spécialisé. Il consiste en deux phases:
dépose de la platine:
Séparation de l'ensemble canon-culasse du bois et dépose des autres éléments de l'arme:
Fin de la 1° phase:
2° phase: démontage de la platine:
Remontage complet: Dans le sens inverse du démontage en n'oubliant pas les coups de bon fonctionnement pour s'assurer de la réussite du remontage... |
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