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définition: |
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sabot
de crosse |
Accessoire
généralement en coutchouc venant se placer sur la plaque
de couche de certaines armes d'épaule pour amortir le choc du
recul, en particulier lors du tir de grenades à fusil. exemple: sabot de crosse du FR MAS 36-51: |
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sabre-baïonnette |
Arme
blanche équipant les fusils d'infanterie français
à partir de la fin du XIX° siècle. Le sabre-baïonnette
est une arme d'estoc et de taille il donc destinée à
percer comme toute baïonnette mais la forme de sa lame permet
de s'en servir éventuellement comme d'un sabre ou comme outil
(pour couper du bois au cantonnement par exemple). Elle est assez
longue et donc assez lourde, ce qui est d'autant plus gênant que
son emplacement sur l'arme occasionne un déséquilibre
(sur le côté droit sur le Chassepot...) et rend donc le tir
avec la baïonnette montée pénible. La précision
du tir en est également affecté. Par la suite les sabre-baïonnettes
du mousqueton 1892 se monteront de façon plus rationnelle (sous
le canon). Il y eut deux types principaux de sabre-baïonnette, celles du sytème Chassepot et celle du système Berthier (mousqueton 1892 et dérivés). exemple: sabre-baïonnette mle 1866 du
Chassepot:
exemple: sabre-baïonnette mle 1892 du mousqueton Berthier: |
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scabbard (US) |
traduction française: fourreau |
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sear (US) |
traduction française: gâchette |
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sécurité |
Dispositif
enrayant le système de mise de feu pendant la course des
parties mobiles. Leur action cesse dès qu'est assuré
le verrouillage (ou la fermeture dans les armes à culasse
non calée). Les sécurités n'entrent en jeu que pendant le fonctionnement de l'arme et ceci à l'insu du tireur. |
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sélecteur
de tir |
Pièce
de certaines armes automatique permettant de choisir le mode de tir
(coup-par-coup, rafale limitée, rafale libre...) exemple: sélecteur de tir du FM 24-29: |
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semelle (de chargeur) |
Partie d'un chargeur supportant
le ressort principal. synonyme: talon de chargeur. exemple: semelle de chargeur du FSA 49:
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semi-automatique |
Se
dit des armes dans lesquelles l'énergie développée
par les gaz est utilisée pour assurer une partie des
opérations du cycle de fonctionnement, (hormis le
premier coup), le tireur devant relacher la détente entre
chaque coup. |
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séparateur |
Dans
certaines armes de poing, pièce débrayant la
détente de la gâchette lors du mouvement de la
culasse. Le tireur devant relacher la détente entre chaque
coup pour permettre à la détente de revenir se mettre
en prise avec la gâchette. exemple: séparateur du PA MAC 50:
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sight base (US) |
traduction française: ligne
de mire |
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silex |
Matériau
utilisé à partir du début du 17° siècle
sur les platines des armes à feu. La platine à silex
succède à celle dite à rouet qui fonctionnait
avec une pierre de pyrite de fer frottant sur un rouet en acier. Le choc
du silex contre la batterie engendre des étincelles qui enflamment
le pulvérin placé dans le bassinet. La platine à silex sera utilisée pendant près de deux siècles puis sera supplanté par la platine à percussion. exemple: platine à silex du fusil mle 1777 an IX: |
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simple
action |
Principe
de fonctionnement de certaines armes de poing nécessitant
deux temps: *le premier pour armer le chien (ou la culasse) manuellement et chambrer une cartouche, *le deuxième pour appuyer sur la détente et faire feu. exemple d'arme fonctionnant à simple action: Pa de 7,65 mm type RUBY (nota: le Ruby n'utilise que la simple action, il fonctionne donc à simple effet) |
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simple
effet |
Principe
de fonctionnement de certaines armes utilisant la simple
action seule ou la double action seule. *De nombreuses armes utilisent la simple action seule (en particulier les pistolets automatiques d'ancienne génération, la plupart des armes automatiques ou semi-automatique et tout les fusils à répétition). *Par contre celles utilisant la double action seule sont moins courante, la seule qui a été utilisée quelque peu par nos armées (sans être réglementaire) est le PA de 9 mm Le Français type Armée (voir ci-dessus). On trouve de par le monde certains revolvers qui fonctionnent à double action seule, ils sont appellés Hammerless (sans chien) car un carénage enveloppe le chien et empêche donc son armement manuellement, cela donne une arme compact et sans aspérités, facile à dissimuler et à extraire d'une poche. |
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slide (US) |
traduction française: glissière |
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soie |
Partie
d'une arme blanche (baïonnette, sabre, épée...)
située dans le prolongement de la lame. La soie est en général
cachée car la poignée vient la coiffer.
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sous-garde |
Pièce sur laquelle vient se
fixer le pontet. exemple: sous-garde du fusil Mle 1842: |
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stock (US) |
traduction française: crosse |
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sub machine gun (US) |
traduction française: pistolet-mitrailleur |
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support
de guidon |
Pièce
supportant le guidon d'une arme à feu lorsque celui ci n'est
pas directement fixé sur le canon. exemple: support de guidon du PM MAT 49: |
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sûreté |
Dispositif
visant à s'opposer à une mise de feu accidentelle quand
l'arme est chargée, en attente de tir. On distingue: *les sûretés non automatiques: elles enrayent l'arme au repos par un acte volontaire du tireur.
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sûreté
de chargeur |
Dans certaines armes
de poing, pièce débrayant la détente de
la gâchette tant qu'un chargeur n'a pas été
introduit dans l'arme. exemple: sûreté de chargeur du
PA MAC 50:
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système
de détente |
Mécanisme
ayant pour but d'accrocher et de maintenir en position d'armé
la masse percutante ou les parties mobiles. En général
on trouve des systèmes de détente comportant une détente
et une gâchette mais on en trouve comportant en plus un relai
(voir "relai de détente"). exemple: système de détente du FM 24-29: |
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système
de percussion |
Mécanisme
ayant pour but final de mettre à feu la charge principal et
qui se compose d'un percuteur, d'une masse percutante et d'un ressort
de percussion (voir percuteur et masse percutante). NB: le percuteur et la masse percutante peuvent ne constituer qu'une seule pièce (chien d'un revolver ou culasse du PM MAT 49 par exemple). |
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système
moteur |
Force
nécessaire pour assurer le fonctionnement d'une arme à
feu, à savoir l'alimentation, la mise en mouvement de l'ensemble
mobile, la mise à feu. On distingue deux sources d'énergie principales: -le travail musculaire du servant (fusil à silex, à percussion ou à répétition), dans ce cas le tireur effectue toutes les opérations du cycle de fonctionnement. -l'action de la veine gazeuse, dans ce cas la déflagration de la charge de poudre est "utilisée" pour assurer les opérations du cycle de fonctionnement, en partie (armes semi-automatiques) ou en totalité (armes automatiques), hormis bien sûr le premier coup. |