Fiche technique:


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LES ARMES

 
INDEX GENERAL

 
LEXIQUE


(Si un terme vous pose problème, l'index général et le lexique sont à votre disposition)



Le fusil semi-automatique de 7,5 mm 

MAS modèle 1944:



MAS 44 d'origine, avec fixation du chargeur à l'intérieur de la boîte de culasse

MAS 44 du modèle définitif avec fixation du chargeur à l'extérieur de la boîte de culasse


I) Renseignements numériques:

Longueur de l'arme:
1075 mm
Longueur de l'arme avec baïonnette:
1345 mm
Longueur du canon:
580 mm
Longueur de la ligne de mire:
650 mm
Hauteur:
 /
Poids à vide:
3,900 kg
Poids chargé:
4,480 kg
Contenance du magasin:
 10 cartouches
Calibre:
7,5 mm
Munition:
7,5x54
Cartouches utilisées:
mle1929 C à balle ordinaire O (balle de 9 g à bout pointu en plomb chemisé de maillechort,
étui laiton, charge de 2,75 g de poudre BF)

mle1929 C à balle tracante-ordinaire TO (balle à bout pointu en plomb chemisé de laiton,
godet traceur, étui laiton et charge de 2,75 g de poudre BF)

mle1929 C à balle perforante P (balle à bout pointu en plomb chemisé de laiton,
noyau en acier, étui laiton et charge de 2,75 g de poudre BF)

mle1929 C à balle tracante-perforante TP (balle à bout pointu en plomb chemisé de laiton,
noyau en acier, godet traceur, étui laiton et charge de 2,75 g de poudre BF)

 mle1929 D à balle lourde mle 1933 D (balle de 12,4 g pour le tir dans les armes automatiques)

mle1929 C à balle incendiaire I

mle F1 de tir réduit mle 1961 (balle plastique dite "balplast" de couleur orange)

mle1937 de tir à blanc (balle à bout rond en carton)

mle1958 M et mle F1 de tir à blanc (cartouche en plastique de couleur blanche)

mle1929 C inerte de manipulation
Rayures:
4 à droite au pas de 270 mm
Vitesse initiale (Vo):
 850 m/s
Energie initiale (Eo):
325 kg/m
Vitesse pratique de tir:
24 coups/min
Portée pratique:
400 m
Portée utile maxi:
1200 m
Pénétration:
/
Perforation:
/

II) Caractéristiques générales:

Classification:
arme individuelle d'épaule, semi-automatique
Subdivision:
fusil d'infanterie
Utilisation:
tir aux distances moyennes à longues
Canon:
rayé, chambre pour étui tronconique à gorge
Système moteur:
action de la veine gazeuse
Système de fermeture:
culasse calée à verrou fixe
Alimentation:
magasin amovible, introduction directe
Système de détente:
par détente-gâchette à échappement
Système de percussion:
percussion circulaire, armé culasse fermée
Extraction:
extracteur à action normale, axé et poussé par un ressort
Ejection:
projetant, porté par la culasse
Sécurités:
course de garde au verrouillage
Sûretés:
levier enrayant le système de détente
Appareils de pointage:
hausse à oeilleton, planchette et curseur (100-1200 m)

guidon rectangulaire sur embase
Accessoires à la puissance de feu:
arrêt du tir culasse ouverte
Baïonnette:
baïonnette modèle 1936
Marquages:
sur la boîte de culasse (fabricant et modèle, calibre, matricule)

sur le canon (année de fabrication ou de recanonnage)
Finition:
entièrement phosphatée
Fabricants:
Manufacture d'armes de St-Etienne
Exemplaires fabriqués:
6500 environ entre 1948 et 1951
Période d'utilisation:
de 1948 à 1972
Versions et dérivés:
FSA MAS 44 A
Classification:
1° catégorie

III) Historique:

Les premiers fusils semi-automatique utilisés par nos armées remontent au premier conflit mondial, ce sont les fusils Meunier A6 et FSA 1917, ils étaient appelés à l'époque fusil automatique. Néanmoins la doctrine d'emploi de l'époque les cantonnent au rôle d'armes de "spécialiste", en effet leur coût plus élevé et la complexité de leur mécanisme nécessitent de les affecter à des soldats plus à même de les "bichonner" que le troupier de base. C'est la raison pour laquelle ces armes furent prioritairement affectés aux tireurs d'élite, la troupe utilisant toujours les armes à verrous de type Lebel, fusil et mousqueton modèle 1916 et plus tard MAS 36. Néanmoins dès les années 20-30 les mentalités commencent à changer et nos ingénieurs planchent sur de nouvelles armes à fonctionnement semi-automatique destinées à remplacer les armes à verrous. Seront ainsi tester toute une série de prototypes proposés par la MAS et la MAT (MAS 19-22, MAS 22-26, MAS 28-31,MAT 31 etc...). Néanmoins ces velléités de modernité furent vite freinées par l'absence de crédits, affectés en priorité à la reconstruction du pays et au fait que le stock énormes d'armes à verrous héritées de 14-18 était amplement suffisant pour fournir nos armées pour de nombreuses années. Un autre fait joua en défaveur des armes semi-automatique: la sacro-sainte hantise de l'état-major de la sur-consommation de munition liée à ce type de tir... Nos soldats entrèrent donc en guerre en 1939 avec les mêmes armes et uniformes (hormis la couleur) que leur aînés de 14-18. un fusil semi-automatique était pourtant déjà bien au point et aurait pu être adopté, c'était le FSA 1940 à chargeur dérivé du FSA 38-39 mais les évènements firent capoter ce projet. En attendant les USA étaient équipés dès 1936 d'une arme efficace, le fusil Garand qui équipera nos armées de libération puis restera en service après la guerre jusqu'à son remplacement par la série des FSA 49 et 49-56. Mais revenons un peu en arrière. Dès la région de Saint-Etienne libérée nos ingénieurs reprennent les études du FSA 1940 d'origine et le modifie par l'ajout d'un chargeur amovible. Le 11 janvier 1945 ce fusil est adopté ainsi modifié sous l'appellation de FSA MAS 44. Néanmoins la production fut insuffisante pour permettre à la nouvelle arme de participer aux combats avant la capitulation nazie. Une dernière modification sur la fixation du chargeur fut opérée sans que le nom de l'arme soit changé. A peine l'arme était adoptée que la fin de la guerre changea les priorités et déjà l'état-major demanda des améliorations ce qui fut fait dès 1946 avec l'adaptation sur le MAS 44 d'un lance-grenade incorporé, la suppression de la baïonnette et divers modifications de détails. L'arme prend alors l'appellation de FSA MAS 44A. Ce MAS 44A donnera naissance au FSA 49.
Le MAS 44 d'origine n'équipera pas l'armée de terre, en fait il n'en aura pas le temps, nos troupes "terrestres" étaient déjà équipés de pléthore d'armes diverses fournies par nos alliés mais aussi de conception nationales, telles la série des MAS 36 (MAS 36, MAS 36 LG48, MAS 36-51), qui feront l'intérim avant l'adoption du FSA 1949 et quelques années plus tard du FSA 49-56 qui lui succèdera petit à petit. Néanmoins 100 à 150 FSA 44 furent testés par l'armée de terre. Seule la Marine ationale adoptera le FSA 44 dans sa configuration d'origine mais avec un chargeur à accrochage externe. La Royale a toujours eu un temps d'avance sur l'armée de terre, elle adoptera dès 1878 le Kropatschek de marine alors que le Gras équipait encore la ligne, de même, alors que l'armée de terre adoptera le FAMAS F1 la Marine choisira  le FAMAS G2 équipé d'un chargeur de type M16. Choix visionnaire qui sera flagrant lorsque l'infanterie française sera doté de la MINIMI qui pouvait être alimenté avec des bandes ou avec un chargeur de type...M16. Le tireur MINIMI ne pouvait pas tirer partie de cette polyvalence puisque son FAMAS F1 avait un chargeur spécifique. Il est vrai qu'à présent le problème est reglé puisque le fusil d'assaut HK 416 adopté en remplacement du FAMAS F1 utilise un chargeur M16, normal puisqu'à la base le HK 416 n'est qu'un M16 relooké et modernisé mais je m'égare...
Revenons au FSA 44 de la Marine. Plusieurs lots furent fabriqués pour la Royale pour un total de 6300 environs. Ils équiperont les fusiliers-marins commando où ils seront appréciés et utilisés à leur juste valeur. Remplacés par les FSA 49 et FSA 49-56 ils continueront leur petits bonhomme de chemin en tant qu'armes d'entrainements jusqu'à leur déclassement définitif et leur stockage en arsenal. Le triste destin des armes réformés clôt leur histoire. Le four de fusion fut leur dernière demeure au début des années 2000.

IV) Fonctionnement et constitution:

Le FSA 44 comprend sept parties: l'ensemble canon-boîte de culasse, l'ensemble mobile, le pontet, le chargeur, le bois, les garnitures et la baïonnette.

   

L'ensemble canon-boîte de culasse est composé du canon sur lequel vient se visser à sa partie postérieur la boîte de culasse.

    

Le canon porte le guidon, protégé par l'embouchoir:


vue de 3/4 arrière:

Le couvre-culasse porte la hausse, du type à oeilleton, planchette et curseur, elle n'est pas réglable en site et en direction, c'est la hausse du MAS 36:

 
 
 
planche de hausse:
hausse sur 200 m:
hausse sur 1200 m:

La boîte de culasse comporte l'ensemble des mécanismes (NB: le schéma ci-dessous représente les mécanismes du FSA 49 qui sont identiques):

 

La boîte de culasse comporte un logement pour le chargeur amovible, l'arme étant alimentée normallement au moyen d'un chargeur à dix cartouches, mais on peut également utiliser en secours les lame-chargeurs du MAS 36. A cet effet une échancrure est pratiqué sur le devant de la pièce de manoeuvre afin d'y glisser le contenu de deux lame-chargeur. Lorsque le chargeur est vide, la culasse reste en position arrière, accrochée sur l'arrêtoir de culasse, le tireur met en place une lame-chargeur dans son logement, il appuie sur la cartouche du dessus avec le pouce de la main droite et introduit les cinq cartouches dans le chargeur, puis cinq autres de la même manière. Après avoir légèrement reculé l'ensemble mobile il le relache et chambre une nouvelle cartouche.

 


chargeur, ici un chargeur de FSA 49:
NB: le chargeur d'origine est différent en ce sens qu'il comportait des griffes latérales et s'accrochait à l'arme dans des crans internes du couloir d'alimentation
lame-chargeur avec cinq cartouches
à balle ordinaire (7,5x54 mle 1929 C-BO):


logement du crochet-chargeur:
NB: le MAS 44 définitif comporte un cran extérieur de chargeur de type FSA 49.
(voir chargeur à gauche)
  
    

vue de l'échancrure pour le passage du clip:
introduction de la lame-chargeur:

 

 
vue du coin d'appui:
NB: c'est sur cette pièce que vient se caler la culasse lorsqu'elle est en position basse et que l'ensemble mobile est verrouillé.


vue externe du coin d'appui:
NB: ici figure sur cette vue la plaque externe de maintien du coin d'appui. Cette plaque est fixée sur la boite de culasse au moyen d'une seule vis, arrêtée par un coup de pointeau, il est en effet essentiel que la vis ne se desserre pas, ce qui occasionnerait un déplacement de la plaque et par là-meme du coin d'appui, qui amenerait un incident de tir irrémédiable.
par comparaison, vue du coin
d'appui du FSA 49:
NB: la plaque est à présent maintenue par deux vis, toujours arrêtée par un coup de pointeau.

 
Le boîte de culasse comporte dans sa partie inférieure un arrêtoir de culasse qui est soulevé par le talon de l'élevateur du chargeur en fin de tir:
 

   

arrêtoir de culasse en position "repos"
(en bas):



arrêtoir de culasse en position haute:
le dernier étui vient d'être éjecté, le talon de l'élevateur vient de soulever l'arrêtoir de culasse qui s'est mis sur le chemin de la culasse, alors en fin de recul.
Lorsque la culasse repart vers l'avant elle rencontre l'arrêtoir de culasse qui la stoppe.
Le tireur n'a plus qu'à ôter son chargeur vide, mettre un autre chargeur en place et tirer légèrement en arrière le levier d'armement afin de permettre à l'arrêtoir de culasse de reprendre sa place en position basse, il relache alors le levier d'armement afin de permettre à l'ensemble mobile de repartir en avant et de chambrer une nouvelle cartouche

La partie inférieure de la boîte de culasse supporte les mécanismes de percussion:, ils seront les mêmes sur les FSA 49 et FSA 49-56:


 
 


levier sur "tir":




levier sur "sûreté":
NB: si l'arme est perçu désarmée (culasse à l'avant et marteau à l'abattu)
et le levier de sûreté en position arrière, il est interdit
de manoeuvrer l'ensemble mobile sous peine
d'endommager le cran du marteau

L'arrière de la boîte de culasse comporte le verrou de couvre-culasse qui fait fonction de levier de démontage:



verrou de FSA 44:
(NB: c'est le même sur le FSA 49)
par comparaison, verrou de FSA 49-56:

Le côté gauche de la boîte de culasse ne comporte pas encore de rainure pour la fixation d'une lunette



La boite de culasse du FSA 44 est simplement fraisée
par comparaison, vue de la rainure de fixation de lunette du FSA 49:

L'ensemble mobile se compose du ressort récupérateur, de la pièce de manoeuvre, de la culasse et du percuteur.

La pièce de manoeuvre comporte un bouton d'armement en aluminium:




ressort récupérateur:
(NB: c'est le même sur les FSA 49 et FSA 49-56)

pièce de manoeuvre:
(NB: Les plaquettes de protection latérale sont rivées sur le FSA 44
et à queue d'aronde sur les FSA 49 et FSA 49-56.)




culasse:
(NB: c'est la même sur les FSA 49 et FSA 49-56)
percuteur d'origine
comportant un épaulement et un ressort de rebondissement
percuteur monté ultérieurement (c'est le même
que sur les FSA 49 et FSA 49-56)
   
La culasse comporte l'extracteur et l'éjecteur, ce dernier est mobile et s'efface lorsqu'une cartouche est en place dans la cuvette de tir. Lors du mouvement arrière l'ejecteur vient en contact de sa butée et chasse le culot de l'étui:






éjecteur effacé:
éjecteur sorti:

 
Le bois est en trois pièces (en hêtre): le garde-main, le fût et la crosse, ils ne sont pas démontable par l'utilisateur:
 
  

Les garnitures sont constituées des fixations du canon au bois, de la plaque de couche et de la barette de crosse:



embouchoir:
(NB: c'est le même que sur le MAS 36 du 2ème type)
grenadière:
(NB: c'est le même sur les FSA 49 et FSA 49-56)


plaque de couche:
(NB: c'est le même sur les FSA 49 et FSA 49-56)
barrette de crosse:
(NB: c'est le même sur les FSA 49 et FSA 49-56)

L'embouchoir comporte un logement pour une baïonnette, celle-ci est celle du MAS 36:



baïonnette rentrée:
baïonnette sortie:


Le côté gauche de la boîte de culasse comporte le marquage du modèle précédé des intitiales de la Manufacture d'armes de St-Etienne ainsi que le numéro matricule précédé d'une lettre de série. :

       

Autres marquages du numéro matricule:


n° sur la crosse:


V) Démontage-remontage:

Le soldat était autorisé à démonter son arme partiellement. L'entretien courant consistait à nettoyer le canon avec la baguette de nettoyage et à déposer et nettoyer l'ensemble mobile.

Démontage pour nettoyage sommaire:

dépose de l'ensemble mobile:
  • s'assurer que le levier de sûreté est effacé (NB: si le levier de sûreté est en place lors de l'armé il y a un risque de bris de pièce), puis armer,
  • appuyer l'arme sur une surface horizontale, le pontet en contact avec le bord d'une table par exemple,
  • d'une main appuyer sur le verrou de couvre-culasse et de l'autre faire avancer le couvre-culasse,
  • soulever l'arrière du couvre-culasse, laisser le ressort récupérateur se décomprimer en le retenant, séparer le couvre-culasse et le ressort récupérateur de l'ensemble mobile,
  • amener l'ensemble mobile vers l'arrière, le soulever par sa partie avant et le sortir de la boîte de culasse,
  • séparer culasse, percuteur et pièce de manoeuvre.
 
 
Démontage du chargeur:
  • faire glisser la semelle vers l'avant tout en retenant le ressort,
  • laisser le ressort se décomprimer, séparer les éléments du chargeur.


Démontage complet:

Uniquement fait par l'armurier du corps qui seul disposait de l'outillage nécessaire, il consiste en quatre phases:
  • dépose de la crosse, du fût et du garde-main,
  • dépose de l'extracteur,
  • dépose des autres éléments de l'arme,
  • démontage complet du chargeur.

1° phase:

dépose du pontet, du fût et du garde-main:
  • dévisser la vis de pontet et la déposer, séparer le pontet de l'ensemble canon-boîte de culasse,
  • dévisser la vis d'embouchoir et la déposer, séparer l'embouchoir du reste de l'arme,
  • dévisser la vis de grenadière et la déposer, séparer la grenadière du reste de l'arme,
  • séparer le fût et le garde-main du reste de l'arme,
  • NB: la fourrure de crosse étant réglée en atelier, la dépose de la crosse n'est pas autorisée au niveau régimentaire, elle se fait au niveau régional en établissements spécialisés.
 

2° phase:

dépose de l'extracteur:
  • appuyer sur la tête de l'extracteur de façon à l'amener vers l'arrière, l'écarter vers l'extérieur puis séparer l'extracteur et son ressort de la culasse,
 

3° phase:

dépose des autres éléments de l'arme:
  • dévisser les vis de la plaque de couche et les déposer, séparer la plaque de couche du bois,
  • dévisser les vis de la barette de crosse et les déposer, séparer la barette de crosse du bois,


4° phase:

Démontage complet du chargeur (faisant suite au démontage sommaire du chargeur):
  • séparer le transporteur du ressort.


fin du démontage complet:
  

Remontage complet:

Dans le sens inverse du démontage en n'oubliant pas les coups de bon fonctionnement pour s'assurer de la réussite du remontage...


VI) Accessoires:

La plupart des accessoires décrits ici sont ceux du FSA 49-56. L'utilisation du FSA 44 en Indochine amena la troupe à adapter ses accessoires à ce nouveau fusil. Par la suite, lorsque le FSA 49 sortira en série ses accessoires seront utilisés pour les quelques FSA 44 restants en service.

  • 1 bretelle en cuir,


bretelle (ici une bretelle de FSA 49-56)
la bretelle de FSA 44 d'origine est de couleur fauve


bretelle montée (ici aussi une bretelle de FSA 49-56):
  • 4 chargeurs



  • 1 bretelle de suspension Mle 1892-14 (uniquement le modèle en cuir fauve avec bouclerie en acier peint),
 


  • 1 triangle de suspension,


  • 2  paires de cartouchières, pouvant contenir 2 chargeurs chacune soit une capacité totale d'emport de 40 cartouches,



cartouchières cuir:
cartouchières en toile:

  • 1 housse de protection (venant englober la boîte de culasse):

  • des accessoires:
    • 1 tire-douille,
    • 1 crochet éjecteur,
    • 1 lavoir à ficelle modèle 1957,
    • 1 écouvillon nylon de nettoyage de chambre,
    • 1 écouvillon laiton modèle 1957,
    • 1 pinceau,
    • 1 burette à huile,
    • 1 guide technique MAT 1031.






tire-douille:

crochet éjecteur:

lavoir à ficelle:

écouvillon de
chambre:
écouvillon
laiton:


 

pinceau:
burette à huile:
guide technique:


  • des rechanges:
    • 1 percuteur,
    • 1 ressort d'extracteur,
    • 1 extracteur,


percuteur
ressort d'extracteur et extracteur:

  • 1 trousse pour accessoires et une trousse pour rechanges:





trousse pour accessoires et
trousse pour rechanges en cuir:
trousse pour accessoires et
trousse pour rechanges en toile:


VII) Divers:


  •  exemple de brelage équipé:

  
brelage équipé mle 45: